Pourquoi a-t-on besoin aujourd’hui de ce Labo Tiers-Lieux ?
Les tiers-lieux, ce sont eux qui en parlent le mieux.
Quel est selon vous le rôle à jouer de ce “labo tiers-lieux” dans le mouvement tiers-lieux ?
Un bon outil entre pairs, pour zoomer sur des thèmes précis et favoriser les pratiques de mise en commun de ressources entre les lieux.
Comment rendre compte, dans la création de contenus, de la diversité de ses représentants et territoires ?
Il faut mettre en valeur les « faiseurs », leur donner la parole car ils sont peu connus et peu valorisés : fabmanager, chargés d’accueil, facilitateurs, agriculteurs, bidouilleurs mais aussi les chargés de développement qui font tous les jours de l’innovation territoriale. On doit diversifier au maximum les auteurs et autrices et rester une communauté ouverte.
Pourquoi avoir fait le choix d’un consortium élargi pour faire vivre le Labo Tiers-Lieux ?
La diversité du mouvement doit être représentée dans le labo.
Selon vous, le Labo aura rempli sa mission si…
Il participe à la prise de conscience qu’il existe une communauté des tiers-lieux en France et dans le monde !